Eigentlich geht es ja darum wie die 90% künftig angewendet wird. Dazu habe ich mir die Formulierung im Gesetzesentwurf angeschaut:
Art. 157ter - aktuelle Fassung -
(2) Aux fins du calcul du seuil prévu à l’alinéa 1er, entrent en ligne de compte les revenus professionnels définis à l’article 157bis, alinéa 1er, réalisés au cours de l’année civile. En ce qui concerne les contribuables non résidents mariés, ne vivant pas en fait séparés, l’alinéa 1er du présent article peut, sur demande, s’appliquer lorsque l’un des époux satisfait à la condition du seuil d’au moins 90 pour cent du total de ses revenus tant indigènes qu’étrangers.
Art. 157ter - Gesetzesentwurf -
(2) Aux fins du calcul du seuil prévu à l’alinéa 1er, entre en ligne de compte l’ensemble des revenus tant indigènes qu’étrangers réalisés au cours de l’année civile. En ce qui concerne les contribuables non résidents mariés, l’alinéa 1er du présent article peut, sur demande, s’appliquer lorsque l’un des époux satisfait à la condition du seuil d’au moins 90 pour cent du total de ses revenus tant indigènes qu’étrangers.
Wenn ich das richtig verstehe, besteht der Hauptunterschied darin, dass künftig auf alle Einkunftsarten abgestellt wird und nicht nur auf die Arbeitseinkünfte.
Was sich nicht geändert hat und was weiterhin Bestand hat, ist, dass die 90% Grenze nur von EINEM der beiden Eheleute ("l'un des époux") eingehalten werden muss. D.h. das ein Ehepartner mindestens 90% seiner Gesamteinkünfte in Luxemburg erzielen muss.
Falls dem so ist, dann dürften sich die meisten Verheiraten nach Nachweis der Einkünfte weiterhin die Steuerklasse 2 eingruppieren lassen können.